Contribution n°373 (Web)
Anonyme
Déposée le 5 mai 2025 à 12h16
Déposée le 5 mai 2025 à 12h16
Serait-il possible d'envisager de passer aux bus électriques pour la ligne 24 afin d'améliorer le confort des passagers et des riverains ?
Contribution n°372 (Web)
Par brument
Déposée le 5 mai 2025 à 11h52
Déposée le 5 mai 2025 à 11h52
Les lignes 62 et 87 relient Mions à la gare de Vénissieux (métro D de Lyon).
Elles ne suffisent pas à un commune de 14000 habitants surtout le dimanche.
Aucun service de navette spécifique ou de transport à la demande n’est directement dédié à Mions. Le service « TCL à la demande – Mi Plaine » couvre les communes de Chassieu, Genas et Saint-Priest mais ne dessert pas Mions.
Elles ne suffisent pas à un commune de 14000 habitants surtout le dimanche.
Aucun service de navette spécifique ou de transport à la demande n’est directement dédié à Mions. Le service « TCL à la demande – Mi Plaine » couvre les communes de Chassieu, Genas et Saint-Priest mais ne dessert pas Mions.
Contribution n°371 (Web)
Par Espinosa Carine
Déposée le 4 mai 2025 à 21h54
Déposée le 4 mai 2025 à 21h54
A Mions , on manque de navettes fréquentes et rapides pour rejoindre le métro.
Il faut souvent plus de 40mn pour aller à gare de Vénissieux en semaine.
Il y a vraiment trop peu de bus le WE et le soir, c'est compliqué de rentrer chez soi pour nos jeunes.
Il faut souvent plus de 40mn pour aller à gare de Vénissieux en semaine.
Il y a vraiment trop peu de bus le WE et le soir, c'est compliqué de rentrer chez soi pour nos jeunes.
Contribution n°370 (Web)
Par LOBA Yolande
Déposée le 4 mai 2025 à 20h48
Déposée le 4 mai 2025 à 20h48
La métropole de LYON a mis en place une ZFE visant à laisser les voitures au garage ou mieux s’en débarrasser et prendre les transports en commun.
Un constat :
Mions ville de la Métropole de Lyon, qui compte près de 15000 habitants, et desservie par 2 lignes de bus. La ligne 62 qui en faisant le tour de la planète permet de visiter la Métropole et la ligne 87 avec une fréquence, une rapidité et une ponctualité aléatoire. Un service inexistant le dimanche.
Pourtant en plus d’un prix attractif, ces qualités sont essentielles si on souhaite réussir à attirer des usagers. Le résultat n’est pas brillant.
Pour les habitants de Mions, impossible d’assister à un spectacle de soirée à Lyon si on n’a pas de voitures ou sinon, retour en taxi ! La solution de se rendre à Vénissieux en voiture et la laisser au parking du métro n’est pas possible, il est constamment saturé.
Saturé comme les rues de notre village qui sont empruntées par les centaines de véhicules des habitants du Nord Isère qui cherchent une solution rapide pour se rendre à leur travail.
La zone industrielle de la plateforme multimodale est bien desservie par la ligne 87, mais lorsque l’on termine à minuit comme c’est souvent le cas dans les entreprises de la logistiques…pas de bus…
On peut voir qu’entre le souhait initial et la concrétisation sur le terrain, il y a un gouffre !
Des solutions :
La mise en place d’une ligne express à haute fréquence entre le centre de Mions et la ligne D du métro, fonctionnant tous les jours de la semaine est nécessaire pour répondre au besoin et atteindre le but recherché.
De même, la création d’un parking relais conséquent au niveau de l’échangeur 15 (Chaponnay Marennes) de l’A46 Sud avec une liaison rapide bus express ou mieux tramway jusqu’à Vénissieux, permettrait de pouvoir décongestionner tout notre territoire en laissant les véhicules, à l’extérieur de la Métropole.
L’utilisation de la ligne ferroviaire Grenay / Saint-Fons par le RER à la lyonnaise et non par des trains de fret, serait un complément conséquent.
Des problèmes avec des solutions existent qui ne demandent pas de travaux conséquents, pas de tunnel ni de pont… Il faut répartir le budget et ne pas oublier le Sud-Est lyonnais comme c’est le cas actuellement, ce Sud-Est lyonnais qui par les taxes versées par ses entreprises et un fort contributeur au budget de la Métropole.
Un constat :
Mions ville de la Métropole de Lyon, qui compte près de 15000 habitants, et desservie par 2 lignes de bus. La ligne 62 qui en faisant le tour de la planète permet de visiter la Métropole et la ligne 87 avec une fréquence, une rapidité et une ponctualité aléatoire. Un service inexistant le dimanche.
Pourtant en plus d’un prix attractif, ces qualités sont essentielles si on souhaite réussir à attirer des usagers. Le résultat n’est pas brillant.
Pour les habitants de Mions, impossible d’assister à un spectacle de soirée à Lyon si on n’a pas de voitures ou sinon, retour en taxi ! La solution de se rendre à Vénissieux en voiture et la laisser au parking du métro n’est pas possible, il est constamment saturé.
Saturé comme les rues de notre village qui sont empruntées par les centaines de véhicules des habitants du Nord Isère qui cherchent une solution rapide pour se rendre à leur travail.
La zone industrielle de la plateforme multimodale est bien desservie par la ligne 87, mais lorsque l’on termine à minuit comme c’est souvent le cas dans les entreprises de la logistiques…pas de bus…
On peut voir qu’entre le souhait initial et la concrétisation sur le terrain, il y a un gouffre !
Des solutions :
La mise en place d’une ligne express à haute fréquence entre le centre de Mions et la ligne D du métro, fonctionnant tous les jours de la semaine est nécessaire pour répondre au besoin et atteindre le but recherché.
De même, la création d’un parking relais conséquent au niveau de l’échangeur 15 (Chaponnay Marennes) de l’A46 Sud avec une liaison rapide bus express ou mieux tramway jusqu’à Vénissieux, permettrait de pouvoir décongestionner tout notre territoire en laissant les véhicules, à l’extérieur de la Métropole.
L’utilisation de la ligne ferroviaire Grenay / Saint-Fons par le RER à la lyonnaise et non par des trains de fret, serait un complément conséquent.
Des problèmes avec des solutions existent qui ne demandent pas de travaux conséquents, pas de tunnel ni de pont… Il faut répartir le budget et ne pas oublier le Sud-Est lyonnais comme c’est le cas actuellement, ce Sud-Est lyonnais qui par les taxes versées par ses entreprises et un fort contributeur au budget de la Métropole.
Contribution n°369 (Web)
Anonyme
Déposée le 4 mai 2025 à 20h47
Déposée le 4 mai 2025 à 20h47
La métropole de LYON a mis en place une ZFE visant à laisser les voitures au garage ou mieux s’en débarrasser et prendre les transports en commun.
Un constat :
Mions ville de la Métropole de Lyon, qui compte près de 15000 habitants, et desservie par 2 lignes de bus. La ligne 62 qui en faisant le tour de la planète permet de visiter la Métropole et la ligne 87 avec une fréquence, une rapidité et une ponctualité aléatoire. Un service inexistant le dimanche.
Pourtant en plus d’un prix attractif, ces qualités sont essentielles si on souhaite réussir à attirer des usagers. Le résultat n’est pas brillant.
Pour les habitants de Mions, impossible d’assister à un spectacle de soirée à Lyon si on n’a pas de voitures ou sinon, retour en taxi ! La solution de se rendre à Vénissieux en voiture et la laisser au parking du métro n’est pas possible, il est constamment saturé.
Saturé comme les rues de notre village qui sont empruntées par les centaines de véhicules des habitants du Nord Isère qui cherchent une solution rapide pour se rendre à leur travail.
La zone industrielle de la plateforme multimodale est bien desservie par la ligne 87, mais lorsque l’on termine à minuit comme c’est souvent le cas dans les entreprises de la logistiques…pas de bus…
On peut voir qu’entre le souhait initial et la concrétisation sur le terrain, il y a un gouffre !
Des solutions :
La mise en place d’une ligne express à haute fréquence entre le centre de Mions et la ligne D du métro, fonctionnant tous les jours de la semaine est nécessaire pour répondre au besoin et atteindre le but recherché.
De même, la création d’un parking relais conséquent au niveau de l’échangeur 15 (Chaponnay Marennes) de l’A46 Sud avec une liaison rapide bus express ou mieux tramway jusqu’à Vénissieux, permettrait de pouvoir décongestionner tout notre territoire en laissant les véhicules, à l’extérieur de la Métropole.
L’utilisation de la ligne ferroviaire Grenay / Saint-Fons par le RER à la lyonnaise et non par des trains de fret, serait un complément conséquent.
Des problèmes avec des solutions existent qui ne demandent pas de travaux conséquents, pas de tunnel ni de pont… Il faut répartir le budget et ne pas oublier le Sud-Est lyonnais comme c’est le cas actuellement, ce Sud-Est lyonnais qui par les taxes versées par ses entreprises et un fort contributeur au budget de la Métropole.
Un constat :
Mions ville de la Métropole de Lyon, qui compte près de 15000 habitants, et desservie par 2 lignes de bus. La ligne 62 qui en faisant le tour de la planète permet de visiter la Métropole et la ligne 87 avec une fréquence, une rapidité et une ponctualité aléatoire. Un service inexistant le dimanche.
Pourtant en plus d’un prix attractif, ces qualités sont essentielles si on souhaite réussir à attirer des usagers. Le résultat n’est pas brillant.
Pour les habitants de Mions, impossible d’assister à un spectacle de soirée à Lyon si on n’a pas de voitures ou sinon, retour en taxi ! La solution de se rendre à Vénissieux en voiture et la laisser au parking du métro n’est pas possible, il est constamment saturé.
Saturé comme les rues de notre village qui sont empruntées par les centaines de véhicules des habitants du Nord Isère qui cherchent une solution rapide pour se rendre à leur travail.
La zone industrielle de la plateforme multimodale est bien desservie par la ligne 87, mais lorsque l’on termine à minuit comme c’est souvent le cas dans les entreprises de la logistiques…pas de bus…
On peut voir qu’entre le souhait initial et la concrétisation sur le terrain, il y a un gouffre !
Des solutions :
La mise en place d’une ligne express à haute fréquence entre le centre de Mions et la ligne D du métro, fonctionnant tous les jours de la semaine est nécessaire pour répondre au besoin et atteindre le but recherché.
De même, la création d’un parking relais conséquent au niveau de l’échangeur 15 (Chaponnay Marennes) de l’A46 Sud avec une liaison rapide bus express ou mieux tramway jusqu’à Vénissieux, permettrait de pouvoir décongestionner tout notre territoire en laissant les véhicules, à l’extérieur de la Métropole.
L’utilisation de la ligne ferroviaire Grenay / Saint-Fons par le RER à la lyonnaise et non par des trains de fret, serait un complément conséquent.
Des problèmes avec des solutions existent qui ne demandent pas de travaux conséquents, pas de tunnel ni de pont… Il faut répartir le budget et ne pas oublier le Sud-Est lyonnais comme c’est le cas actuellement, ce Sud-Est lyonnais qui par les taxes versées par ses entreprises et un fort contributeur au budget de la Métropole.
Contribution n°368 (Web)
Par Vernay Denise
Déposée le 4 mai 2025 à 18h08
Déposée le 4 mai 2025 à 18h08
Aménagement des trottoirs.
Les trottoirs présentent une difficulté pour les personnes ayant des poussettes multi places et toutes les personnes équipées d’un fauteuil roulant .
- déclivité pour l’écoulement des eaux pluviales,
- passage des « espaces bateaux »
- bacs de fleurs
- poteaux de signalisation….
Tous cela peut représenter un risque de chute.
Exemple: une personne de 90 kg assise sur un fauteuil roulant, pesant 40 kg, ce qui fait une charge de 130kg. Son accompagnant est en difficulté pour assurer les déplacements. Pensons aux personnes âgées qui sont dans les HEPAD. Leurs familles veulent sortir leurs parents pour des promenades… il est très difficile de tenir un fauteuil sur des plans ayant dévers.
Le risque de chute est vraiment réel, par expérience, dans le village de mon papa, nous nous déplaçons sur la chaussée.
Suggestion: ne serait-il pas possible de créer des bandes piétonnes comme les espaces cyclables à la place des trottoirs?
Les trottoirs présentent une difficulté pour les personnes ayant des poussettes multi places et toutes les personnes équipées d’un fauteuil roulant .
- déclivité pour l’écoulement des eaux pluviales,
- passage des « espaces bateaux »
- bacs de fleurs
- poteaux de signalisation….
Tous cela peut représenter un risque de chute.
Exemple: une personne de 90 kg assise sur un fauteuil roulant, pesant 40 kg, ce qui fait une charge de 130kg. Son accompagnant est en difficulté pour assurer les déplacements. Pensons aux personnes âgées qui sont dans les HEPAD. Leurs familles veulent sortir leurs parents pour des promenades… il est très difficile de tenir un fauteuil sur des plans ayant dévers.
Le risque de chute est vraiment réel, par expérience, dans le village de mon papa, nous nous déplaçons sur la chaussée.
Suggestion: ne serait-il pas possible de créer des bandes piétonnes comme les espaces cyclables à la place des trottoirs?
Contribution n°367 (Web)
Anonyme
Déposée le 4 mai 2025 à 17h00
Déposée le 4 mai 2025 à 17h00
.
Contribution n°366 (Web)
Anonyme
Déposée le 4 mai 2025 à 16h51
Déposée le 4 mai 2025 à 16h51
Financement :
1/ Dire que l'économie locale poursuit sa croissance, permettant une augmentation régulière des sommes perçues des entreprises au travers du versement mobilité : Plan Chapitre 4 page 238 est une affirmation non conforme aux faits :
- le Ministre français de l'Economie Eric LOMBARD a maintenu la prévision de croissance de 0,7% pour la France en 2025.
- l'INSEE a revu ses prévisions à la baisse. Le PIB ne devrait croître que de 0,1 % au premier trimestre 2025, et l'acquis de croissance atteindrait un modeste 0,4 % fin juin 2025.
- suivant la Banque de France, à partir de 2026, la reprise de l’investissement des entreprises, quoiqu’un peu abaissée, permettrait de redynamiser la croissance du PIB. Celle-ci serait révisée marginalement à la baisse en 2026, à 1,2 % sous l’effet d’hypothèses internationales moins favorables. La croissance en 2027 demeurerait inchangée à 1,3 %.
2/ Les contributions des collectivités membres de SYTRAL MOBILITES et les aides de l'ETAT : Plan page 239 :
ces recettes vont se contracter parce que les collectivités ont des difficultés de financement et ne percoivent plus de subvention de l'ETAT, qui cherche à économiser 40 Milliards d'Euros rien que pour 2026.
Les aides de l'ETAT vont également diminuer pour les raisons précitées.
3/ Toutes les estimations financières de Maîtrise d'Ouvrage page 243, à savoir ETAT, SNCF Réseau
de 9 Milliards d'Euros ne sont pas réalistes du fait que :
- l'ETAT n'a pas d'argent (40 Milliards d'économies visées en 2026).
- la SNCF a déjà bénéficié de la prise en charge par L'ETAT de son endettement de 35 Milliards d'Euros (qui pour être exact n'est pas dû totalement à la SNCF elle-même, mais à l'obligation qu'a imposée historiquement l'ETAT à la SNCF d'investir dans la totalité des réseaux ferrés et des gares).
- la SNCF a bénéficié aussi du plan de relance financé par l'ETAT selon la loi de règlement du budget de 2023.
4/ Les estimations financières de Maîtrise d'Ouvrage pages 243 à 249, à savoir SYTRAL MOBILITES et Métropole de LYON de 8 Milliards d'Euros ne sont pas réalisables du fait que :
- les recettes des Collectivités locales ne seront pas disponibles.
- il n'y aura pas d'autre possibilité que le recours massif à l'emprunt.
Il faut donc définir des priorités.
1/ Dire que l'économie locale poursuit sa croissance, permettant une augmentation régulière des sommes perçues des entreprises au travers du versement mobilité : Plan Chapitre 4 page 238 est une affirmation non conforme aux faits :
- le Ministre français de l'Economie Eric LOMBARD a maintenu la prévision de croissance de 0,7% pour la France en 2025.
- l'INSEE a revu ses prévisions à la baisse. Le PIB ne devrait croître que de 0,1 % au premier trimestre 2025, et l'acquis de croissance atteindrait un modeste 0,4 % fin juin 2025.
- suivant la Banque de France, à partir de 2026, la reprise de l’investissement des entreprises, quoiqu’un peu abaissée, permettrait de redynamiser la croissance du PIB. Celle-ci serait révisée marginalement à la baisse en 2026, à 1,2 % sous l’effet d’hypothèses internationales moins favorables. La croissance en 2027 demeurerait inchangée à 1,3 %.
2/ Les contributions des collectivités membres de SYTRAL MOBILITES et les aides de l'ETAT : Plan page 239 :
ces recettes vont se contracter parce que les collectivités ont des difficultés de financement et ne percoivent plus de subvention de l'ETAT, qui cherche à économiser 40 Milliards d'Euros rien que pour 2026.
Les aides de l'ETAT vont également diminuer pour les raisons précitées.
3/ Toutes les estimations financières de Maîtrise d'Ouvrage page 243, à savoir ETAT, SNCF Réseau
de 9 Milliards d'Euros ne sont pas réalistes du fait que :
- l'ETAT n'a pas d'argent (40 Milliards d'économies visées en 2026).
- la SNCF a déjà bénéficié de la prise en charge par L'ETAT de son endettement de 35 Milliards d'Euros (qui pour être exact n'est pas dû totalement à la SNCF elle-même, mais à l'obligation qu'a imposée historiquement l'ETAT à la SNCF d'investir dans la totalité des réseaux ferrés et des gares).
- la SNCF a bénéficié aussi du plan de relance financé par l'ETAT selon la loi de règlement du budget de 2023.
4/ Les estimations financières de Maîtrise d'Ouvrage pages 243 à 249, à savoir SYTRAL MOBILITES et Métropole de LYON de 8 Milliards d'Euros ne sont pas réalisables du fait que :
- les recettes des Collectivités locales ne seront pas disponibles.
- il n'y aura pas d'autre possibilité que le recours massif à l'emprunt.
Il faut donc définir des priorités.
Contribution n°365 (Web)
Anonyme
Déposée le 4 mai 2025 à 14h43
Déposée le 4 mai 2025 à 14h43
Désserte de l'aéroport de SAINT EXUPERY depuis LYON :
le Plan ne traite pas de façon coordonnée des liaisons entre LYON et l'Aéroport :
- il est seulement question de la nouvelle liaison tramway MEYZIEU CREMIEU sur l'emprise de l'ancien Chemin de Fer de l'Est Lyonnais, Chapitre 3 page 236.
- le Plan ne parle pas de la redondance non maîtrisée entre le tramway T3 (SYTRAL) et le tramway Rhônexpress (SYTRAL avec concession à VINCI + Caisse des Dépots et Consignations) ; ceci résulte historiquement, dans les années 1990/2000, de l'incapacité du Département du Rhône et de la Communauté Urbaine de LYON (COURLY) à se parler et à se mettre d'accord sur la désserte de l'aéroport.
Il n'est pas acceptable de payer 28 Euros pour aller/retour de LYON à l'aéroport.
On devrait payer le tarif Zones tarifaires SYTRAL Zones 1 + 2 c'est à dire 2 x 2,10 = 4, 20 Euros.
Il faudra harmoniser le T3 et le Rhônexpress pour :
- homogénéiser la technique et la traction : à partir de Meyzieu Z.I., Rhônexpress dispose de sa propre infrastructure, dotée d'une caténaire lourde de type ferroviaire, qui contraste avec la ligne aérienne de contact type tramway utilisée sur le tronçon T3 construit par le SYTRAL.
- homonégéiser les ateliers de maintenance.
- homogénéiser les arrêts et l'exploitation.
Ainsi que relevé par la Chambre régionales des comptes en 2019 pointant « une concession dès son origine structurellement déséquilibrée », il convient de modifier d'urgence la concession de service public conclue jusqu'en 2038 et notamment renégocier l'indemnité de 40 millions d'euros du concessionnaire.
La collectivité publique, c'est à dire les impôts des contribuables, a déjà financé 85 % des 120 millions d'euros d'investissement du Rhônexpress.
Voir aussi la contribution Web n° 350 sur le passage de la voie ferrée tramway sous les rocades autoroutières.
le Plan ne traite pas de façon coordonnée des liaisons entre LYON et l'Aéroport :
- il est seulement question de la nouvelle liaison tramway MEYZIEU CREMIEU sur l'emprise de l'ancien Chemin de Fer de l'Est Lyonnais, Chapitre 3 page 236.
- le Plan ne parle pas de la redondance non maîtrisée entre le tramway T3 (SYTRAL) et le tramway Rhônexpress (SYTRAL avec concession à VINCI + Caisse des Dépots et Consignations) ; ceci résulte historiquement, dans les années 1990/2000, de l'incapacité du Département du Rhône et de la Communauté Urbaine de LYON (COURLY) à se parler et à se mettre d'accord sur la désserte de l'aéroport.
Il n'est pas acceptable de payer 28 Euros pour aller/retour de LYON à l'aéroport.
On devrait payer le tarif Zones tarifaires SYTRAL Zones 1 + 2 c'est à dire 2 x 2,10 = 4, 20 Euros.
Il faudra harmoniser le T3 et le Rhônexpress pour :
- homogénéiser la technique et la traction : à partir de Meyzieu Z.I., Rhônexpress dispose de sa propre infrastructure, dotée d'une caténaire lourde de type ferroviaire, qui contraste avec la ligne aérienne de contact type tramway utilisée sur le tronçon T3 construit par le SYTRAL.
- homonégéiser les ateliers de maintenance.
- homogénéiser les arrêts et l'exploitation.
Ainsi que relevé par la Chambre régionales des comptes en 2019 pointant « une concession dès son origine structurellement déséquilibrée », il convient de modifier d'urgence la concession de service public conclue jusqu'en 2038 et notamment renégocier l'indemnité de 40 millions d'euros du concessionnaire.
La collectivité publique, c'est à dire les impôts des contribuables, a déjà financé 85 % des 120 millions d'euros d'investissement du Rhônexpress.
Voir aussi la contribution Web n° 350 sur le passage de la voie ferrée tramway sous les rocades autoroutières.
Contribution n°364 (Web)
Anonyme
Déposée le 4 mai 2025 à 13h20
Déposée le 4 mai 2025 à 13h20
Transports en commun sur Mions, une mésaventure révélatrice :
J’avais dernièrement un rendez-vous sur Lyon avec des amis et à l’idée de ne pas de trouver de place au parking relais de Vénissieux et d’avoir à tourner en rond pour trouver une place sur celui de Bron-Parilly. ☹
Nous décidons de laisser les voitures et de prendre le bus 87 pour rejoindre le métro.
Un bus doit passer à 10h16 et nous devrions être à l’heure…C’était sans compter sur la fiabilité de nos transports en commun… 10h20, 10h25, 10h30, 10h35, 10h40 Rien…
10h45, enfin un bus arrive : A la question « C’est le bus de 10h16 ou celui de 10h51 ? »
Le chauffeur répond sans explication ni excuse « C’est celui de 10h16… »
Mes voyages au japon m’ont laissé en mémoire le respect des conducteurs et contrôleurs à l’égard des passagers avec un salut respectueux en vous accueillant. Même si on ne s’attend pas à une telle attitude, une réponse polie aurait été la bienvenue, mais peut-être que les incidents sont tellement courants que le personnel est lassé… Les témoignages multiples des parents d’élèves dont les enfants n’ont pas été acceptés en cours au lycée de Saint-Priest car le bus n’était pas passé…
Alors le constat est la ville de Mions est mal desservie avec 2 lignes de bus qui en termes de remplissage ne correspondent peut-être pas aux objectifs mais pour que les gens prennent un bus il faut que la proposition soit fiable et ne dépende pas du fait que l’on a du mal a recruter des chauffeurs comme on m’a répondu.
Réduire la pollution signifie pour les élus écologistes, laisser la voiture au garage mais pour cela il faudrait créer une offre en transport qui réponde à la demande, à savoir fiabilité, rapidité, sécurité et prix adapté.
Il faut une liaison directe rapide haute fréquence et qui tourne aussi le week-end avec la ligne D du métro, par Bus Express entre un point de Mions central et proche d’un parking relais.
J’avais dernièrement un rendez-vous sur Lyon avec des amis et à l’idée de ne pas de trouver de place au parking relais de Vénissieux et d’avoir à tourner en rond pour trouver une place sur celui de Bron-Parilly. ☹
Nous décidons de laisser les voitures et de prendre le bus 87 pour rejoindre le métro.
Un bus doit passer à 10h16 et nous devrions être à l’heure…C’était sans compter sur la fiabilité de nos transports en commun… 10h20, 10h25, 10h30, 10h35, 10h40 Rien…
10h45, enfin un bus arrive : A la question « C’est le bus de 10h16 ou celui de 10h51 ? »
Le chauffeur répond sans explication ni excuse « C’est celui de 10h16… »
Mes voyages au japon m’ont laissé en mémoire le respect des conducteurs et contrôleurs à l’égard des passagers avec un salut respectueux en vous accueillant. Même si on ne s’attend pas à une telle attitude, une réponse polie aurait été la bienvenue, mais peut-être que les incidents sont tellement courants que le personnel est lassé… Les témoignages multiples des parents d’élèves dont les enfants n’ont pas été acceptés en cours au lycée de Saint-Priest car le bus n’était pas passé…
Alors le constat est la ville de Mions est mal desservie avec 2 lignes de bus qui en termes de remplissage ne correspondent peut-être pas aux objectifs mais pour que les gens prennent un bus il faut que la proposition soit fiable et ne dépende pas du fait que l’on a du mal a recruter des chauffeurs comme on m’a répondu.
Réduire la pollution signifie pour les élus écologistes, laisser la voiture au garage mais pour cela il faudrait créer une offre en transport qui réponde à la demande, à savoir fiabilité, rapidité, sécurité et prix adapté.
Il faut une liaison directe rapide haute fréquence et qui tourne aussi le week-end avec la ligne D du métro, par Bus Express entre un point de Mions central et proche d’un parking relais.
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